Etymologie et histoire de Pleubian
PLEUBIAN est une ancienne paroisse primitive qui englobait jadis le territoire actuel de PLEUBIAN ainsi que ceux de KERBORS et de LANMODEZ.
C’est sur le territoire de PLEUBIAN, au Port-Béni (VIème siècle), qu’aurait, selon sa IIème Vie latine, débarqué au VIIème siècle, venant d’Irlande, Saint Maudez pour s’installer au lieu-dit Lesheluan.
La paroisse de Pleubihan ou Plubihan est citée dès 1034 dans le cartulaire de l’abbaye de Saint-Georges de RENNES.
Ce territoire fut donné à l’abbaye de Saint-Georges (Ille et Vilaine) par Alain, duc de Bretagne, et son frère Eon.
Cette abbaye était dirigée alors par leur sœur Adèle. Elle était, sous l’Ancien Régime, un prieuré-cure de cette abbaye, comme l’indiquent encore les toponymes Ar-Prioli, le prieuré, Convenanty-an-Brioles, Pont-Saint-Georges.
C’est sur le territoire de PLEUBIAN, au Port-Béni (VIème siècle), qu’aurait, selon sa IIème Vie latine, débarqué au VIIème siècle, venant d’Irlande, Saint Maudez pour s’installer au lieu-dit Lesheluan.
La paroisse de Pleubihan ou Plubihan est citée dès 1034 dans le cartulaire de l’abbaye de Saint-Georges de RENNES.
Ce territoire fut donné à l’abbaye de Saint-Georges (Ille et Vilaine) par Alain, duc de Bretagne, et son frère Eon.
Cette abbaye était dirigée alors par leur sœur Adèle. Elle était, sous l’Ancien Régime, un prieuré-cure de cette abbaye, comme l’indiquent encore les toponymes Ar-Prioli, le prieuré, Convenanty-an-Brioles, Pont-Saint-Georges.
Vers 1060, Pleubian est administrée par un prévôt féodé nommé Gautier.
La paroisse était alors partagée en sept « trev » dont Trézel, Trévéon et Treffelmel (aujourd’hui Ty-Femel).
Les lieux-dits Le Clandry et Tachen-an-Corderie conservent le souvenir probable d’une léproserie établie par l’abbaye Saint-Georges.
L’ancienne paroisse de PLEUBIAN, qui avait pour trêve KERBORS, faisait partie de l’évêché de TREGUIER et avait LANNION pour subdélégation et pour ressort.
La cure était présentée par l’abbesse de Saint-Georges de RENNES (Pleubihan) par lettres épiscopales du 23 juin 1605. Kerbors est réunie à PLEUBIAN le 21 mars 1791, puis séparée à nouveau le 17 mai 1856 (par décret du 25 février 1856).
Le 24 octobre 1930, la paroisse de l’ARMOR est créée, en même temps qu’elle se détache de celle de PLEUBIAN.
On rencontre les appellations suivantes : Plubihan (en 1034-1040), Parva plebs (entre 1040 et 1066), Plubihan (vers 1040, en 1156 - 1169), Plebihen (en 1068-1077), Plobihan (en 1202), Parva Plebs (en 1330, en 1371), Ploebihan (en 1469).
Vers 1060, Pleubian est administrée par un prévôt féodé nommé Gautier.
La paroisse était alors partagée en sept « trev » dont Trézel, Trévéon et Treffelmel (aujourd’hui Ty-Femel).
Les lieux-dits Le Clandry et Tachen-an-Corderie conservent le souvenir probable d’une léproserie établie par l’abbaye Saint-Georges.
L’ancienne paroisse de PLEUBIAN, qui avait pour trêve KERBORS, faisait partie de l’évêché de TREGUIER et avait LANNION pour subdélégation et pour ressort.
La cure était présentée par l’abbesse de Saint-Georges de RENNES (Pleubihan) par lettres épiscopales du 23 juin 1605. Kerbors est réunie à PLEUBIAN le 21 mars 1791, puis séparée à nouveau le 17 mai 1856 (par décret du 25 février 1856).
Le 24 octobre 1930, la paroisse de l’ARMOR est créée, en même temps qu’elle se détache de celle de PLEUBIAN.
On rencontre les appellations suivantes : Plubihan (en 1034-1040), Parva plebs (entre 1040 et 1066), Plubihan (vers 1040, en 1156 - 1169), Plebihen (en 1068-1077), Plobihan (en 1202), Parva Plebs (en 1330, en 1371), Ploebihan (en 1469).